À mon propos |
Mon nom est Bruno Guglielminetti. Fils d’un émigrant italien et d’une mère québécoise, je suis le fier père de deux garçons. Professionnellement aujourd’hui, je suis consultant indépendant en stratégie de communication numérique. Je fais également des conférences, de la formation et j’analyse l’actualité des communications et du numérique dans les médias. D'ailleurs, plus de 85 000 abonnés me font confiance au quotidien sur Twitter, et dans mon podcast hebdomadaire Mon Carnet, pour leur présenter l'essentiel de l'actualité numérique. Auparavant, j’ai passé deux ans au sein de l’équipe de direction de Gilbert Rozon à titre de Directeur général de la Division numérique du Groupe Juste Pour Rire / Just For Laughs. Mon travail consistait notamment à établir la stratégie numérique du groupe et coordonner les efforts des différentes unités d’affaires de Juste pour rire et Just for Laughs dans le contexte du numérique. Juste avant, j’ai eu le plaisir d’être Directeur au Cabinet de relations publiques NATIONAL. Pendant presque 4 ans, j’ai dirigé l’équipe numérique de Montréal. Au quotidien, je conseillais les clients de la firme dans leur stratégie de communication avec les diverses plateformes numériques. Autant pour l’utilisation d’Internet, des médias sociaux, de la gestion de crise en ligne, des applications mobiles ou même dans le contexte du divertissement numérique. Avant, j’ai été à l’emploi de Radio-Canada pendant 23 ans. Principalement à la production/réalisation d'émissions à la radio de Radio-Canada et en parallele, pendant les 15 dernières années, à y traiter de nouvelles technologies sur toutes les antennes du diffuseur public canadien. De 1996 à 2003, j’ai écrit au quotidien montréalais La Presse. Et de 2005 à 2010, j’ai signé une chronique hebdomadaire dans les pages du quotidien Le Devoir. En 2003, j’ai reçu le Prix du Communicateur de l’année décerné par l’Association internationale des Professionnels de la Communication. En 2004, je recevais le Mérite de la langue française dans le domaine des nouvelles technologies de l’OQLF. Et finalement, en mai 2009, je recevais le prix d’Excellence dans le journalisme scientifique et technique de la Canadian Advanced Technology Alliance à Ottawa.
L'homme de lettre Hervé
Fischer me présentait ainsi dans sa préface Voyageur au long cours des cyberocéans, Bruno Guglielminetti a repris la tradition italienne de Marco Polo et des grands explorateurs sous le vent. Et il est devenu l’un des meilleurs connaisseurs de toutes les îles du cyberespace Internet. Il y fait escale à toutes occasions; les revisite, en découvre constamment de nouvelles et les indique sur la carte, avec leurs noms parfois pittoresques ou qui font rêver. Beau temps, mauvais temps, Bruno Guglielminetti navigue. Il visite quelque 100 sites Web chaque semaine, soit parce qu’il les aime, soit parce que des rumeurs de nouveaux rivages parviennent jusqu’à lui, et beaucoup au hasard des vents, Yahoo France, Google, Alta Vista, Excite, Lycos, Voilà, Nomade, Francité, Lokace, la Toile du Québec et autres dont les noms exotiques et souvent francisés font rêver l’âme du voyageur en chacun de nous. L’eau cathodique bouge. Le cyberocéan est fluide et souvent insaisissable, un cercle sans centre ni circonférence, comme disait Pascal. Les îles dérivent, naissent ou disparaissent sans prévenir, comme des atolls coraliens fragiles; des noms apparaissent, d’autres retournent dans l’oubli océanique, capable de tout effacer. L’esprit s’y perd et de nombreuses goélettes n’en sont jamais revenues. Il est donc bon d’avoir une carte à jour! Bruno Guglielminetti, curseur, clavier et jumelles de l’avant dans le vent des écrans cathodiques scrute l’horizon. On l’aperçoit parfois, sur le pont de Radio Canada ou à La Presse depuis six ans, toujours de bonne humeur, avec ses deux animaux emblématiques : chat et souris. Malgré son air de jeunesse éternelle, déjà vieux loup de la cybermère, dans le livre des records Guinness il se mérite à coup sûr une première place, car il est une référence incontournable depuis les tous débuts du cyberespace francophone – depuis 10 ans déjà, depuis 1993! Beaucoup des cybernautes d’aujourd’hui n’étaient pas encore nés! C’est son mérite aussi, alors que tant de sites anglophones se sont multipliés dans le cyberespace pour le plaisir de nos amis anglophones mais aussi sans laisser d’autre choix à nos autres amis du reste du monde, d’avoir donné toute son attention et son engagement pour les sites Web de langue française. La diversité culturelle est aussi importante pour l’avenir de l’humanité que la biodiversité; la langue française aussi fragile que les oiseaux.
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À
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